La bulle immobilière à Toulouse va t-elle exploser?
L’immobilier à Toulouse n’échappe pas à la crise immobilière que traverse le pays. Tout le secteur de l’immobilier en France connaît un net ralentissement et c’est aussi le cas pour la ville rose.
Vers un nouveau comportement des acheteurs vendeurs de biens immobiliers à Toulouse
Concernant l’immobilier toulousain, la crise ne se fait pas ressentir sur les prix, mais si l’on en vient à regarder le volume des transactions, on voit que celui-ci a largement baissé depuis le début de l’année 2009 indique le site Les Clés du midi 31. De plus, les agents immobiliers à Toulouse doivent faire face à un nouveau comportement des acquéreurs et propriétaires vendeurs. Les particuliers acheteur préfèrent maintenant attendre quelques mois et repousser leur désir d’achat dans une maison, villa ou appartement pour voir l’évolution des prix de l’immobilier toulousain car personne ne veut plus brader leurs biens. Les acquéreurs sont dans une position attentiste en espérant un effondrement des prix du marché immobilier à Toulouse. Pourtant, les promoteurs immobiliers s’accordent à dire que les prix ne baisseront plus puisque croissance démographique de Toulouse augmente et la demande est toujours importante relativement à l’offre.
Et d’un autre côté, les maisons à Toulouse des propriétaires, ces personnes préfèrent désormais retirer leurs maisons ou appartements de la vente plutôt que de baisser les prix. La tâche des professionnels de l’immobilier dans le département du 31 est donc difficile afin d’accorder les deux bouts.
La solution pour échapper à la crise immobilière Toulousaine
Le marché de l’immobilier à Toulouse comme dans toutes les villes est donc devenu encore plus concurrentiel que ce qu’il ne l’était déjà. Les agents immobiliers toulousain ainsi que les chasseurs immobilier à Toulouse se donnent à des luttes acharnées pour capter les potentiels clients. Les agences immobilières en Haute Garonne ne rechignent plus sur les moyens et n’hésitent pas à développer et innover dans leur stratégie de communication. C’est pourquoi de plus en plus de professionnels de l’immobilier ouvre leur portail immobilier sur internet, crée leur site immobilier et utilise le webmarketing immobilier afin de s’assurer une présence dans le monde de l’internet. Mais ce n’est pas tout, les directeurs d’agences font aussi de la diffusion d’annonces immobilières sur la région toulousaine via des portaux immobiliers reconnus comme Les Clés du Midi, SeLoger, Logic-immo… Quand l’on sait qu’en 2011, la recherche immobilière passe le plus souvent par internet pour les particuliers désireux d’acheter ou vendre leurs biens immobiliers, on ne doute pas qu’une présence sur ce média est aujourd’hui indispensable pour les agences si elles ne veulent pas mettre les clés sous la porte.
Que vous soyez un promoteur immobilier, un lotisseur, un agent ou chasseur à Toulouse et de ses environs et que la crise immobilière est un problème pour vous, n’hésitez pas à donner votre avis ou de demander de précieux conseils immobiliers.
Vous pouvez également consulter tout l’immobilier à Toulouse comme des appartement à vendre à Toulouse en cliquant ici en partenariat avec le site Les Clés du Midi et les agence immobilières à Toulouse sur Mopimmo.
En savoir plus sur Toulouse sur http://www.toulouse.fr
Votre analyse sur le marché immobilier est très juste et la visibilité sur internet est, en effet, très importante… et ensuite, surtout, la qualité du service apporté.
La visibilité en soit n’a guère de sens, en revanche la satisfaction des clients génère, toujours, de nouveaux clients.
Il faut donc allier les deux, ce que nous nous efforçons de faire depuis de longues années à Toulouse en tant que chasseur immobilier spécialiste du marché toulousain et de la Haute-Garonne.
A bientôt.
E.M.
Domicilium
15 rue Saint-Bernard
31000 TOULOUSE
Très bon article.
Il est vrai que la situation actuelle est difficile pour tout le monde et surtout pour les acquéreurs et les agences (agents immo et chasseur immobiliers). Même les vendeurs ne sont pas dans une situation aisée car s’ils peuvent espérer une plus value en cas de vente, encore faut-il qu’ils soient en mesure de se reloger par la suite !
C’est, effectivement, le propre d’un marché immobilier au ralenti… caractéristique de comportements attentistes dans un contexte économique difficile.
Très bonne analyse.
Il est vrai que la situation économique actuelle n’est pas évidente pour tout le monde et surtout pour nos acquéreurs préférés.
Le marché des primo-accédant est particulièrement freiné car les banques sont très frileuses.
L’immobilier à Toulouse est certainement en déclin, mais comme mentionné par l’auteur, la demande est plus forte mais l’offre l’est moins. Il y a beaucoup de potentiels acheteurs prêts à investir à Toulouse, mais on ne trouve pas suffisamment de propriétés. Avec le temps, tout cela s’arrangera.
La crise de l’immobilier n’est pas seulement de cause économique, ia confiance joue un rôle majeur dans les toutes les transactions.
De plus en plus d’acheteurs, de vendeurs se savent ou se sentent dans l’insécurité: d’une part, la sacro sainte propriété n’est pas si garantie par les institutions malgré le prix que nous payons (expropriations abusives, notaires qui peuvent « s’approprier » des biens de succession et leurs fruits sans mandat ni droit à le faire pendant plus de 10 ans sans que les recours des propriétaires soient suivis d’effets malgré le dit contrôle de l’activité de nos si chers notaires…),
les charges, impôts ne font qu’augmenter particulièrement en copropriété dans laquelle l’acheteur peut à force se sentir un locataire presque nu en voyant ses charges augmenter sur la base de comptes illisibles et non contrôlés, des sociétés recrutées à grands frais pour un résultat pas du niveau,
développement d’agences et de mandataires commerciaux aptes à vendre à tous prix quelque immeuble sur la base de publicités mensongères ou de manques évidents d’information malgré les dites obligations desdits professionnels qui recrutent des vendeurs parfois très incertains,
grand doute sur l’investissement dans la « pierre » puisque le prix de revente actuellement n’est pas garanti à la valeur d’achat qui plus est avec l’augmentation des frais de notaires et taxes de l’Etat… dont on ne nous a pas privés cette année malgré la profusion des scandales relatifs à la « gestion » de l’argent dit public.
D’autre part, le con tribuable ne se trouve pas rassuré entre autres dans son avenir métier, le paiement de ses retraites, la réalité de ses droits, ni dans celui de ses enfants et cela, sans exemple donné au contraire par nos représentants et associés, se trouvant eux garantis à vie et au delà dans leurs fonctions , retraites, avantages cumulés et en toute irresponsabilité pour leurs déviances révélées mais , toujours pardonnées suite aux pressions par des « non lieux » à profusion.
On oubliera pas de citer non plus lesdites garanties légales dans l’achat neuf qui font partie du prix et ne sont pas toujours respectées par les assurances malgré la réglementation.
Cela , cumulé , au coût de la « vie » pour la masse , l’augmentation de la TVA récente, le prix exorbitant des artisans pour réparation ou rénovation même pour un résultat non professionnel , font que la crise de l’immobilier, comme l’économique, est une crise de confiance, de morale profonde, pas prête de se voir corrigée si les politiques telles que se poursuivent à nos frais, pour entretenir l’incompétence, l’absence d’intégrité et la déraison.
La défiance ne favorise pas l’investissement, mais l’évasion si rendue possible ou la pétrification.
Il aurait convenu , pour donner plus de sérieux à l’article, de corriger la faute du ,titre au verbe exploser qui dans l’interrogation ne peut être conjugué au participe passé et en plus au féminin.
La bulle va t elle exploser?
Nous ne sommes pas très doués pour parler les langues étrangère dans notre pays,
au moins sera t il opportun d’écrire un titre publié et en gras sans énormité de grammaire.